L'ivre de pierres 5

By Jean Aubert

Subjects: Competitions, Bastille, Urban renewal, City planning, Opéra Bastille

Description: The project of a volume 5 imposed itself at the time (1984). The summary, which was a little different from the previous ones, essentially revolved around the Opéra Bastille and the place de la bastille which hosts it. It was necessary to make a proposal for an Opera alone, disregarding the square, on the pretext that the land of the old station, location of the projected building, was managed by the State (organizer of the competition) and that the square was under the authority of the mayor of Paris. After a disastrous result of the International architecture competition Opéra Bastille in 1983, which for once found a balance that would have suggested a happier conclusion. The competition was anonymous. There would have been a ticket error, they say! We were a far cry from the care taken in the design of the district around the new Opéra Garnier at the end of the 19th century. In order not to improve the judgment on fit on an aerial axonometry as obligatory as it is inadequate, it favored the bird's eye view of the roofs and not the view and the life from the city, from the square, that is to say from the city. This Place de la Bastille was through so many negligence a mirror of the atmosphere of the 1980s which was the beginning of the abandonment of all thoughts, of all conceptions of the urban, the beginning of solitary objects or, as the said Jean Baudrillard, the beginning of the monsters Le projet d'un tome 5 s'imposa à l'époque (1984). Le sommaire un peu beaucoup différent des précédents tournait essentiellement autour de l'Opéra Bastille et de la place de la bastille qui l'accueille. Il fallait faire une proposition pour un Opéra seul en faisant abstraction de la place, sous prétexte que le terrain de l'ancienne gare, emplacement de l'édifice projeté, était géré par l'Etat (organisateur du concours) et que la place était sous l'autorité de la mairie de Paris. Après un désastreux résultat du concours International d'architecture Opéra Bastille en 1983, qui pour une fois trouvait un équilibre qui aurait laissé penser à une conclusion plus heureuse. Le concours était anonyme. Il y aurait eu une erreur de ticket, dit-on ! On était bien loin du soin apporté en son temps à la conception du quartier autour du nouvel Opéra Garnier à la fin du XIXe siècle. Pour ne rien améliorer le jugement sur fit sur une axonométrie aérienne aussi obligatoire qu'inadéquate, elle privilégiait la vue d'oiseau des toitures et non pas la vue et la vie depuis la ville, depuis la place, c'est-à-dire depuis la ville. Cette place de la Bastille fut par tant de négligences un miroir de l'ambiance des années quatre-vingt qui furent le début de l'abandon de toutes pensées, de toutes conceptions de l'urbain, le début des objets solitaires ou, comme le disait Jean Baudrillard, le début des monstres